Tunis, 2010, Farah vient d’obtenir une mention au baccalauréat et vit seule avec sa mère. Celle-ci voudrait qu’elle devienne médecin mais la jeune fille ne rêve que de musique. Avec son groupe de rock, elle prend des risques en chantant des textes engagés.
A travers le portrait de Farah, le film nous entraîne sur le rythme effréné de ses chansons et exprime la soif de liberté de toute une génération.

Née à Tunis, Leyla Bouzid étudie la littérature française à la Sorbonne puis intègre la Fémis section réalisation. Elle réalise deux courts métrages Soubresauts (2012) puis Zakaria (2013).
A peine j’ouvre les yeux est son premier long métrage.

Prix du public, Mostra de Venise, 2015 ; 3 Prix aux Journées cinématographiques de Carthage, 2015